Me too à l’hôpital : le changement ce n’est pas vraiment maintenant
Cette fois-ci, c’est la bonne. Encore. Depuis que Karine Lacombe, chef du service de maladies infectieuses de l’hôpital Saint-Antoine, a dénoncé dans les colonnes de Paris Match les agissements de Patrick Pelloux (dont certains pourraient être considérés comme des agressions) qui fut urgentiste dans ce même établissement, beaucoup veulent y voir une étape essentielle dans la dénonciation et la
lutte contre les violences sexuelles et sexistes à l’hôpital. Pourtant, c’est loin d’être la première fois que l’on assiste à une prise de parole médiatique forte sur le sujet.
www.jim.fr